« Erreur-R » (Merci Michel P. !) ;o)

Sur la rame du mal heurt

J’erre

A l’heure

De pointe de l’erreur

Hère

Je suis mineur

Sur une ligne majeure

Des désaccords d’un air

Euh ! Air de transe

Sur la portée des rails transferts

De l’ennui sur les trajets de fer

De mon âme aire errance

… Une rame de RER rance !

(c) Seshet Noun

Profitez de votre lancée sur les entre-rails du ventre de Paris pour
lire ces autres lignes (dont certaines inspirées par vos commentaires
!) :
– « La maladie du silence  »
– « Amère douceur  »
– « Délivré ! »

J’y attends vos avis et commentaires !
A bientôt,
Seshet

Le silence

Comme la cacophonie

Tue les silences de la vie,

Le silence est poésie,

Il vibre dans une symphonie.

 

© Seshet Noun

Mais "comme le silence" est, parfois, terrifiant ! J’aimerais qu’un ange silencieux
m’emporte hors du temps des dures réalités. Mais, sans doute, "les anges ont-ils les ailes brisées [?]"  !

 

N’hésitez pas à cliquer sur
les liens !

 

A bientôt,

Seshet

L’oubli d’aimer…

Ne plus t’attendre,
Ne plus t’entendre,
Et disparaitre dans le néant
Des chairs partagées en de brefs instants.
Oublier ces nuits de tiédeur,
Oublier jusqu’à la moindre rancœur…

Et je m’en vais le cœur léger
Vers l’oubli où je suis née,
Vers l’oubli d’aimer !

Seshet

La ligne de coeur

Dans l’incertitude des hasards,
Sur la toile obscure se perd mon regard.
Je dessine une ligne…Cette ligne ne mène nulle part.

 

Mon pinceau effleure le murmure du chaos…

Imprévisible ? Inattendu ? Beau ?

Que quelque chose advienne !

Que la toile s’en souvienne !

De mon couteau, j’écorche la surface sombre,

Brèche dans la nuit éternelle.

Un rayonnement muet sourd de l’abîme… Étincelle.

Son sourire illumine l’ombre.

L’étoile vacille,

Ma main trébuche et s’éparpille.

Les raies de soleil semblent une pluie de feu.

Je dessine une ligne… La ligne de ses yeux.

Au cœur des ténèbres, ses yeux sculptent la lumière

Et mettent à nu les entrailles de l’univers.

Je dessine ses yeux… Ses yeux sont mes Cieux.

Alors je trace une ligne…Une ligne pour recueillir le souffle du temps

Dans son regard si bleu

Où flottent mille soleils aux vents,

Dans son regard où la lumière brille mieux…

Je dessine une ligne bleue.

Je dessine une ligne feu.

Je dessine une ligne… Ineffaçable.

Cette ligne porte l’inexprimable !

 

 

 

Seshet

Un jour puis un autre jour… Ainsi passe le temps…

                              LES JOURS 

 

                              les jours passent

                              le temps nous tire vers la fin

                              chaque jour comme un répit

                              chaque jour comme une promesse

 

                                                                 Seshet

le 07/04/2002

Vivre !

Ne pas baisser les yeux
Et se laisser ravir
Par la force du désir
Et brûler de mille feux…

Vivre ses émotions,
Blessures et passions.
Vivre ses sentiments,
C’est vivre, tout simplement !

Seshet

L’Attente… Ah !

 

Elle attend depuis longtemps

Elle attend comme un signal

Elle n’a encore jamais ôté la vie jusqu’à maintenant

Agir immédiatement la mettra  à l’abri de tout mal

 

Plongée dans ses sombres pensées

Elle attend l’instant

L’instant qui saura la libérer

L’instant qui répandra le sang

 

Il lui suffira d’appuyer

Un geste si simple si effrayant

Contre sa tempe le froid de l’acier

Bientôt elle ne sera plus tourments

…

       Rien qu’un moment hésitant…

 

 

 

Seshet

Soleil d’hiver

                              Tel un soleil d’hiver
                              Qui brille dans un ciel gris clair
                              J’effleure ta peau de mes baisers
                              Sans jamais parvenir à te réchauffer

                              Tel un soleil d’hiver
                              Me couchant dans la mer
                              Je brûle et me consume dans les vagues
                              Devant tes yeux qui divaguent

                              Tel un soleil d’hiver
                              De mes rayons je t’étreins
                              Puis dans l’ombre de tes chimères
                              Doucement je sombre et m’éteins

                                                                                 Seshet

(Toujours un problème avec les images… Ouiiin !)

Comme une absence

Ame diaphane
En moi l’errance
Distance

Pâle transparente
Sans vie
Absente



Seshet

Veuillez pardonner mon manque d’assiduité sur ce blog… mon absence.
Je passe dans vos espaces dès que possible.

Sombre couloir

Sombre, interminable couloir
Sur les murs s’écrasent mes espoirs
Et la lumière, là, tout au bout…
Elle m’échappe et elle s’en fout !

 

Seshet